D’après ce que vous avez appris, à Davos les puissants du monde ont donné une réponse indéterminée en ce qui concerne l’avenir à cause de l’incertitude à la suite de la Tempête Parfaite (Covid & Crise & Guerre) qu’a modifié le cadre de référence. Ici, nous ne disons qu’avant la tempête les prévisions concernant l’avenir étaient faciles ; nous disons que les projetions avaient des écarts acceptables et physiologiques au système. De nos jours, il n’est plus faisable, pourquoi ? la réponse n’est pas simple car plusieurs variables rentrent dans l’équation avenir ; toutefois effectuer des remarques sur la méthodologie appliquée est une tâche à pratiquer.
Pour l’accomplissement de l’exercice dont au-dessus il est à considérer que le futur est la projection du présent fils du passé. Le fait est que la narrative socio-économique-financière a été basée sur le passé qu’a été raconté par les mêmes Acteurs qui ont causées les conséquences et donc la narration des événements a été homologuée.
Le premier pas à faire est de réécrire la narration des faits et des événements. Enfin, nous avons conclu que les effets négatives de la financiarisation de l’économie, ont produit une richesse virtuelle au lieu d’une prospérité solide.
En conséquence il faut dessiner un autre horizon en termes de vision, objectives et modalités d’interventions. Il faut se remettre en jeu, de recouvrer la capacité de projeter l’avenir tout en évitant les erreurs du passé. Dans un mot il faut reconsidérer la pauvreté en termes de croissance durable et transformation des économies.
Nous avons consacré quelques pages à cette question et ici nous disons que les interventions pour la croissance inclusive n’ont pas atteint le but en conséquence de :
- La faillite des gouvernements dans lutte à la pauvreté.
- Le rôle dominant de la finance au détriment de l’économie réelle.
- Le marché incontrôlé pour le manque d’un cadre de référence institutionnel.
- Le manque d’application des recommandations du Comité Basel III, en 2010.
- L’insuffisant réalisation jusqu’à présent des objectifs de l’Agenda ONU 2030.
- L’apparition sur un grand marché potentiel par des marchands sans scrupules.
Toutes conclusions confondues, il est question de repenser le processus du développement en partant des requêtes venant de la base et d’ici l’importance d’une nouvelle approche méthodologique.
Nous avons proposé TO MOVE FROM CREDIT-BASED ECONOMY to COMMUNITY- BASED ECONOMY.
Le modèle dont à la page suivante vise à repenser l’ensemble de l’architecture de l’inclusion financière, afin d’atténuer la pauvreté par la création d’emplois et la promotion d’opportunités, en vue d’améliorer la vie des personnes et la viabilité des entreprises. Il n’est pas question de changer les règles du jeu de la finance, mais simplement de repenser le comportement des Acteurs du Développement en raison du fait qu’on ne peut pas changer la nature : “Homo homini lupus”, comme disaient les Latins (Plauto, II, 4, 88).
COMMUNITY-BASED ECONOMY: WHAT DOES IT MEAN?
° To have in place a country’s appropriate national economic policy along with a receptive environment for investments.
° To conjugate together financial and economic inclusion, countries’ inclusive growth being the goal, as per the 2030 UN Agenda for SDGs.
° To have Banks, Micro Banks, Investors, Development Agencies, and any suitable provider ready to partner with the Investment Fund and work as a driven belt between the Fund and Entrepreneurs for Start-up and Growth-up businesses.
° To have in place a suitable decision-credit model that has sustainability as a core business along with respect to eligibility criteria via correct and detailed market segmentation.
° To digitalize the services with a product that is sustainable for the providers, affordable for the clients, and market transparent: this can be reached with appropriate market segmentation.
° To have a clear and distinctive role among Lenders, Developers, and Philanthropists, having different sources of capital.
° To establish a National Investment Fund by financiers and entrepreneurs truly committed to the inclusive growth of their countries.
Exemple pratique. BM-SFI pourrait mettre en place un fonds nationaux dans les vingt pays de la région MENA s’étendant de l’Iran au Maroc en utilisant une petite partie du budget de 2 milliards de dollars comme capital d’amorçage et encourageant les capitalistes nationaux d’être actionnaires véritablement engagés à financer à la fois le démarrage et la croissance des entreprises, qui sont l’épine dorsale des économies des pays.
La SFI, la BAfD, le PNUD et d’autres Agences de développement pourraient être facilitateur et conseiller, leur présence étant également une garantie de l’opération.
En Italie, la Cassa Depositi e Prestiti pourrait jouer un rôle décisif dans la mise en œuvre du PNNR en mettant à disposition des capitaux d’amorçage et en exhortant des capitaux privés pour la création de fonds dans le but d’investir localement aux fins de créer des emplois et de promouvoir des opportunités.
Pour en savoir plus :
FINANCIAL INCLUSION, Give people a job not a loan https://www.amazon.co.uk/dp/B01ENJP37S?ref_=k4w_oembed_XABBfUDmCDeygV&tag=kpembed-20&linkCode=kpd
POVERTY – An Alternative Paradigm, https://www.morebooks.de/store/gb/book/poverty-an-alternative-paradigm/isbn/978-613-8-45817-3
The Gateway to Africa Inclusive Growth – JAMBO FUND https://www.morebooks.de/store/gb/book/the-gateway-to-africa-inclusive-growth-jambo-fund/isbn/978-620-2-28375-5